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Examination Nier Replicant Ver.One.22474487139… : Quête De Second[E]Ns

Examination Nier Replicant Ver.One.22474487139… : Quête De Second[E]Ns
Examination Nier Replicant Ver.One.22474487139… : Quête De Second[E]Ns

NieR Replicant ver.one.22474487139… – n’essayez pas de le lire vous risquez de vous blesser – est le remaster par Toylogic de NieR Replicant, la version exclusivement japonaise de NieR Gestalt ou summation simplement NieR pour fifty’occident. Un jeu de base qui était 50’œuvre du Studio Cavia et de ce cher Yoko Taro, également game director sur la série Drakengard, mais surtout NieR Automata, le jeu qui fifty’a révélé aux yeux du “M world”. Voilà pour les présentations, maintenant, que reste t-il de NieR Replicant 10 après, dans sa version “remaké”, que mind abrégerons NieR Replicant ou plus simplement encore Replicant pour d’évidents soucis pratiques.





NieR, d’autant cet épisode master copy Replicant, est un morceau de jeu vidéo assez compliqué à aborder. Déjà parce qu’il est sujet à toutes les mystifications de ses fans, mais aussi parce que c’est un jeu qui, comme Automata, déborde du cadre. Il est souvent conseillé d’éluder la partie jeu de sa query, celle-ci n’étant pas le cœur de 50’exercice Yoko Taro, mais seulement un indicate dans une somme de points, qu’il convient d’aborder d’un bloc.











Si dans Automata, on passait donc volontiers sur ces considérations – finalement mineures – et que 50’on second’accordait sur fifty’exceptionnelle qualité du titre somme de Platinum, ne pouvant pas être pris pierre par pierre au risque de louper le coche de sa proffer, ce n’est pourtant pas le constat que 50’on fera sur Replicant. Un chemin de croix de plus de xl heures pour le constat empirique suivant : NieR Automata est la version réussie d’un jeu qui l’était beaucoup moins.





Il faut bien admettre que head sommes assez curieux de savoir quelle sera de façon summation large, la réception des gens comme psyche, qui ont découvert Yoko Taro avec son plus récent titre. Si les joueurs déjà convaincus par le titre d’origine et contents d’y trouver une nouvelle fin semblent être aux anges, qu’en sera-t-il de ceux qui n’ont pas « subi » la version de 2010. Comment leur corps réagira au contact d’un titre forcément summation archaïque, mais également bien moins dense narrativement et pas que ? Seront-ils aussi “cléments” et « illuminés » ? Peut-être avons-head, cette fois-ci, fauté et “loupé le coche”, allez savoir. En tout cas, le résultat de nos dispositions est finalement que brain sommes bien addition partagés aujourd’hui que head fifty’étions en 2017 pour NieR Automata.





Texture visuelle et sonore de NieR Replicant





Promis, on ne vous fera pas fifty’affront de parler technique trop longtemps. Pour le portage PC trois petites choses à noter : brancher ou débrancher sa manette tue le framerate, dépasser les threescore fps ou descendre en dessous de xxx altère le comportement du jeu et enfin, le curseur de la souris pop parfois au young man milieu de l’écran si vous touchez à votre souris ou clavier puis que vous retournez sur votre manette. Finalement, ça reste moins pire qu’Automata, le addition gros souci étant réglable en deux coups de cuillère à pot dans le carte du jour de configuration de votre GPU. Nous n’avons pour le reste, rencontré aucun souci. Sur une Geforce 980 Ti, ça tourne même bien – encore heureux. Voilà pour le portage PC, notez bien qu’il s’agit de notre expérience, les heureux possesseurs de cartes 2000 ou surtout 3000 rencontreraient apparemment addition de problèmes.





Test NieR Replicant ver.1.22474487139… : Quête de s[E]ns
©Square Enix




Graphiquement, le jeu dépoussière comme il faut son prédécesseur de 2010, et impose un criterion appréciable. Ce n’est pas un foudre de guerre, mais quelle importance cela a, est-ce qu’un jeu NieR techniquement musclé serait un meilleur jeu NieR ? north’y perdrait-on pas un peu du charme de ce dépouillement ? Cette “petitesse” graphique ne sert-elle pas la mélancolie particulière qui est celle de 50’Univers de Yoko Taro ? Les réponses sont dans les questions. Les considérations techniques au-delà de 50’optimisation ou l’accessibilité – pas si mal pour un jeu japonais notons-le – sont un peu futiles dans son cas. NieR Replicant est young man comme il faut, pas moins.





La direction artistique et le chara-blueprint, si on n’est pas toujours au niveau de richesse d’Automata – y compris côté mise en scène et jeu sur les placements de caméra -, le titre garde toute cette singularité propre à la “licence”. Cette “simplicité” charmante et soignée, à 50’image de la zone Littoral. Un monde lisible, sobre, austère mais évocateur avec sa musique qui vient finir de matérialiser tout ce dont vos yeux pourraient manquer.











On ne vous fera pas le sempiternel couple sur la musique de NieR, c’est indescriptible. D’ailleurs, si on vous a mis une orchestration en début d’article, c’est bien pour botter en touche et vous laissez vous en imprégner plutôt que de head confondre en phrases toutes faites. Peut-être un poil moins varié que sa suite, la texture musicale du titre reste un sérieux objet de fascination et il est clair qu’elle est une function fondamentale de 50’identité de Replicant. 





C’est elementary, écouter la sountrack, c’est être soudain pris de l’envie de coller un 10… sauf que Replicant est souvent un meilleur album qu’il est un bon jeu. Peu importe ce que l’on pourra lui reprocher par la suite, y jouer ne fera que donner addition de résonance à ses musiques, et rien que pour ça, comme le clip jusqu’au boutiste de sa division sonore, il mérite peut-être d’être arpenté.





Au charbon comme un lundi





NieR Replicant donne 50’impression de ne pas trop savoir quoi faire de son joueur, il est un peu embêté. Très motivé narrativement, il se retrouve pourtant bien incapable de trouver comment brain faire participer au tout. Comme si Yoko Taro avait écrit un script summation long que le code origin. C’est alors la foire aux allers-retours et aux combats déjà peu intéressants qui s’éternisent… Des choses qui passent une fois, deux fois à la limite, mais qui venu le temps des fins C et D a de quoi prendre des allures de purgatoire du fun.





©Square Enix




Vous n’êtes pas épuisés par ce que le jeu vous demande d’endurer narrativement – comme The Last of Us Part II -, vous êtes épuisés par sa construction et son gameplay affreusement barbant – comme The Last of Us Part II diront certains, pas forcément à tort non summation. Il y a le “pas fun” “amer” et le “pas fun” “super chiant”, là c’est du “pas fun” “super chiant”, soit du “pas fun pas fun”… C’est clair ?





Si la fin eastward pourrait “mériter le voyage”, on est loin d’être aussi convaincu par les multiples fins du jeu master. La conclusion A psyche semble déjà être parfaite, “amer”. On ne comprend pas vraiment comment cette épreuve d’endurance pour aller jusqu’à la fin E – et donc faire 3 fois et demi le jeu – est censée augmenter le propos.





Contre-exemple





Le fait qu’Automata soit intéressant d’un bout à fifty’autre nuit-il à boy discours ? Le fait qu’il soit plaisant à parcourir 50’amenuise t-il ? Les deux jeux ont des champs thématiques proches et on voit mal comment la médiocrité et la répétitivité de Replicant le ferait se transcender. Automata nous prouve le contraire, mieux, son agréabilité met le joueur dans les bonnes dispositions émotionnelles ! Un égard que n’a pas Replicant et qui en bout de course le dessert, parce qu’arrivés à la fin C et D, on en a juste plein le c**.





Test NieR Replicant ver.1.22474487139… : Quête de s[E]ns
©Square Enix




Le instant run travail cependant quelques points intéressants, l’histoire Kaine est poignante et pareil pour celle d’Emil, même si la fin en elle-même reste décevante tant elle ne head apprend rien de plus que la première, qui – à psyche – paraissait équivoque. Le troisième function a contrario est simplement laborieux, sans compter qu’il faut avoir au préalable réuni toutes les armes pour y accéder. Yoko Taro veut de votre temps. Ce n’est pas The Witness qui vous demandera de résoudre des puzzles pour découvrir les mystères, réponses et sensations de boy île fictive, not, NieR Replicant n’a rien à faire jouer, pour en découvrir les secrets il vous demandera “simplement” de serrer les dents et de le subir pendant qu’il ne sait pas quoi faire vous. C’est unproblematic, c’est plus fun de lire le wiki que d’y retourner une énième fois. 





©Square Enix




La difficulté est en plus mal calibrée. En difficile, les ennemis sont d’immondes sacs à PV avec un blueprint qui rend leurs animations pas toujours lisibles et en normal, il second’agit d’un “push mashing” efficace, mais qui ne tient ni la longueur ni la comparaison. C’est unproblematic, heureusement qu’il y existe la possibilité de mettre les combats en automatique. Passé les twenty premières heures de jeu, on comprend la présence de la fonctionnalité et on remercie infiniment les développeurs de leur lucidité… pour ce qui reste une piètre compensation au fait que Replicant n’est pas intéressant à jouer. Combat et système de progression, les deux se révèlent largement moins prenant que dans Automata, qui n’était pourtant pas un cador, mais faisait summation agréablement “le chore” en addition bénéficier d’un soin « meta » pas désagréable… Puis cette summation grande emphase sur le shmup avec ces remix 8 bit qui se rappellent à nos oreilles, quel frisson. BREF, mind divaguons.





Le souci c’est que les contre-exemples réussis existent. On peut être méta, profond et utiliser les spécificités du médium sans être inutilement pénible. The Witness, on 50’a déjà évoqué, The Beginner’sec Guide, qui dure five heures mais se ressasse largement plus et surtout, Metro Exodus et NieR Automata sur des champs thématiques proches. On peut concilier Yoko Taro et ses perceptions du médium dans un titre qui n’est pas daubé, c’est possible.





Force d’opposition





L’apothéose de NieR, c’est sa fin, sa première fin et le chemin qui y conduit. Vous n’avez forcément pas fait un tour exhaustif du jeu, mais le cœur de NieR vous a déjà été largement ouvert et offert. Peut-être qu’il vous manquera de quoi pleinement l’intellectualiser, et il est certain que vous ne viendrez pas à bout de son lore tout seul, mais vous avez goûté au cœur émotionnel de Replicant. Recommencer le jeu est… accessoire ? L’idée est brillante peut-être, mais boy exécution laborieuse ne lui fait pas honneur.





Test NieR Replicant ver.1.22474487139… : Quête de s[E]ns
©Square Enix




NieR Automata ne peut pas second’arrêter au premier go. Vous ne savez rien à ce second-là, il y a tellement de couches qu’il vous faut le reparcourir et même en découvrir la suite sur ses 3 parties qui au final n’en forment qu’une. NieR Automata n’a pas à proprement dit de fashion “novel game plus”, il n’est qu’une aventure crantée. Ici, il n’y a qu’un work que vous répéterez 3 fois, la même partie déjà mal pensée une fois, mais plusieurs fois… La fascination fait home à fifty’exaspération. Le jeu n’a pas la matière et s’étaler comme il le fait, c’est du sabotage.





NieR Replicant porte en collier narratif les qualités dont héritera Automata, ses personnages, le naturel désarmant de sa gravité palpable, ce drame qui se joue dans 50’indifférence du monde… Cette quête, cette perte, ce retour du sens, la force dramaturgique est là. Les autres comme points fixes dans le mouvement, cette banale horreur de 50’existence, à mi chemin avec Drakengard… bref NieR reste des kilomètres au-dessus de la mêlée sur le plan émotionnel, sa profondeur thématique et boy art du contrepoint, pour autant, la mise n’est pas sauvée devant fifty’ampleur des soucis de construction, de rythme, d’interface et de jouabilité. Nous n’arrivons pas à oublier. Logique pour “première tentative”, logique pour son “budget”, logique rapport à boy “historique”, et pourtant pas transparent, les soucis accumulés bouchent la vue. 





NieR Repliqué





Fluidifié et joli-ifié, Replicant reste le jeu qu’il était, ce qui rappelle d’ailleurs doucement que la facture est salée, lx€. C’était le prix d’Automata à sa sortie, un jeu qui avait bien addition à sa charge que de passer le smooth technique et ajouter ii heures de jeu à un titre déjà existant. L’statement marchand ne scelle pas boy sort out, mais il contribue à cette gonflette risquée où Replicant n’a pas fifty’avantage.





©Square Enix




NieR est le fruit de son développement long et difficile pour asseoir une nouvelle aire de l’univers Yoko Taro, un exertion dont il a pu bénéficier avec Platinum, pour sublimer chaque idée dans Automata. On ne peut pas vous le déconseiller, parce que des jeux vidéo comme ça on en veut tous les jours quelque function, pour autant ce serait malhonnête de nier tout ce qui mine concrètement 50’expérience, malgré ses intentions louables. Dans un monde postal service-Automata, le pre-Automata a pris un sérieux coup dans fifty’aile.





NieR Replicant ver.ane.22474487139… est disponible depuis le 23 avril sur Playstation 4, Xbox One et PC.








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